lundi 1 octobre 2007

Musiciens

Ayant démarré ce blog de manière anarchique, je me rends compte que j'ai oublié de mentionner plusieurs musiciens dont on trouve le témoignage dans En Quarantaine.
Les voici listés pour réparer cet oubli dans l'ordre alphabétique :
- Armand Gonzalez, guitariste sur la tournée d'A Prendre, ex-Sloy. Il a participé activement à l'enregistrement de la suite, un album fantôme qui sera un peu le cadavre dans le placard de Brûle. On s'est parlé par téléphone, il fait partie maintenant de Sabo, groupe assez indéfinissable (http://www.myspace.com/spaceofsabo).
- Jean-Louis Piérot : réalisateur de 1964, et co-réalisateur de L'Etreinte. Jean-Louis, je l'ai vu plusieurs fois, en tournée, en studio. Mais l'interview d'En Quarantaine s'est déroulée à côté de chez moi, dans le 14e.
- Joseph Racaille, l'arrangeur de cordes de 1964 et des reprises de Ferré et Brassens. Un bon vivant et grand musicien avec qui j'ai passé une agréable heure dans un bistrot.
- Matthieu Ballet, le bras droit de Miossec sur Brûle, celui qui lui a redonné de la flamme. Longue discussion par téléphone.
- Robert Johnson : very smart guitariste pour Miossec depuis l'enregistrement de 1964. La seule interview en anglais pour le livre.
- Yan Péchin, guitariste sur Brûle, la tournée correspondante et la moitié de 1964. Robert l'a justement remplacé. Avec lui aussi, j'ai passé un moment sympa, près du Nouveau Casino.
- Yann Tiersen, copain de Miossec, qui a déjà un peu joué avec lui et chanté en trio avec Dominique A. Il m'a donné un peu de son temps juste avant un de ses concerts, merci.

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Je dis bravo aux musiciens. On a tendance à les oublier en écoutant un cd, mais sur scène, leur présence est plus que nécessaire. Je n'ai pas leurs noms en tête, mais ceux présents à l'Olympia étaient vraiment très pros. Un petit plus pour le violoniste qui a fait sortir cet instrument de la case classique à l'électrique. Pour la grande adepte du son de Noir Désir que je suis, je reconnais avoir adoré l'arrière plan musical de ce concert. Un peu de cuivre pourquoi pas?

Vincent Brunner a dit…

Oui, tu as raison, le groupe actuel est très bon, notamment celui qui est à la basse et au violon (Jean-François ou Nicolas, je ne sais plus - mais c'est dans le livre). En tout cas, Christophe est très heureux de jouer avec eux...

Anonyme a dit…

Qu'il les garde car ils font plaisir à entendre!
Par contre, j'ai pas vu de basse au concert, un violoncelle oui, mais j'ai zappé la basse (instrument qui est trop souvent en arrière à mon goût). Ca n'enlève rien au mérite du batteur et du guitariste. Mais c'est vrai que la présence des cordes était chouette, quand je pense que Miossec ne voulait même pas de batterie au début (dixit ton livre).

Vincent Brunner a dit…

Ah, la basse, il l'a dans le dos je crois ! Authentique ! Il faut aussi applaudir les performances de Robert Johnson, guitariste classe et sobre.